Selon Daniel Bour, le vice-président de France territoire solaire (FTS), un think tank qui a participé à l’élaboration de cette étude avec le cabinet Kurt Salmon, l’atonie du marché solaire français s’explique par un système artificiel, déconnecté des logiques économiques. Il pointe aussi le « manque de régularité des appels d’offres », soumis « au bon vouloir des ministres ».
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