Le bateau solaire Race for Water a quitté le Quai javel pour retrouver le port breton de Lorient. Avant son départ, il a accueilli à son bord deux figures de l’écologie et du solaire : l’Union des Démocrates Ecologistes et la Générale du Solaire qui ont pu découvrir le plus grand navire solaire.
Reçu par le Président de la Fondation Marco Simeoni et les deux directrices, Anne-Cécile Turner et Marie-Claire Mermoud, les députés UDE François-Michel Lambert et Christophe Madrolle ont pu parler économie circulaire comme un gain environnemental, social et économique.
« Et si on faisait autrement »
Le projet de la Fondation Race for Water fait écho aux convictions de l’UDE qui salue l’exemplarité de l’initiative : « L’économie du gaspillage est néfaste pour nos sociétés, nous devons soutenir le projet Race for Water qui va dans le sens de l’économie circulaire où toutes les ressources sont préservées, recyclées et réemployées » affirme le Président-fondateur de l’Institut de l’économie circulaire, François-Michel Lambert. La Fondation Race for Water est dédiée à la préservation de l’eau et étudie notamment la pollution de l’eau par les déchets plastiques, son navire solaire est un parfait ambassadeur selon Christophe Madrolle : « Avec ce bateau, on rentre dans le symbole même de construire une société propre et ouverte, c’est l’exemple de ce que l’on souhaite pour la protection de l’environnement ».
Le solaire, une énergie d’avenir
Le Président et Fondateur de la Générale du Solaire Daniel Bour s’enthousiasme du formidable exemple que donne ce navire solaire qui a réalisé le tour du monde en 2010 et 2012 uniquement grâce à la lumière du soleil « Faire un tour du monde seulement avec du solaire est exceptionnel et prouve que le solaire est une énergie d’avenir ». En effet, nous assistons aujourd’hui à un engouement autour du solaire que l’on trouve par exemple avec l’avion ou encore avec les fermes au sol qui s’intègrent dans des zones où il y a peu de réseau. Le potentiel du solaire est colossal, la plupart des pays ayant cette capacité de s’en servir comme énergie décarbonné et peu polluante.
Ce navire ouvre donc de multiples perspectives en terme de solaire. Prochaine étape : les Jeux Olympiques de Rio l’année prochaine où il va promouvoir une nouvelle solution de revalorisation des sacs plastiques et autres déchets jetés dans la nature.
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